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Mon défi : la relation d'aide

8 mai 2006

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partyrusse

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3 mai 2006

Les allégories

Les allégories sont de petites histoires, contes et légendes que l'on raconte au gens. Elles sont très utiles en psychothérapie et en éducation. Elles n'ont pas pour but de plaire aux gens, mais plutôt de leur faire comprendre des choses par un procédé conscient et inconscient. Cette technique a été développé et popularisé par Milton H. Erickson. Le but de l'allégorie est d'informer, d'éduquer, de guérir et de faire grandir. Les allégories peuvent être utile pour les enfants, les adolescents, les adultes ainsi que pour les personnes âgées. Elle permet de déjouer les mécanismes de défense et d'entrer dans l'inconscient qui est riche en solutions.

3 mai 2006

Technique d'impact

Les techniques d’impact, utilisent des objets, le mouvement, le graphisme, les métaphores, l’expression, l’écriture et les fantaisies mentales qui s’appliquent à des problématiques diversifiées. Elles permettent de raccourcir le nombre de séances en impliquant  d’avantage le client dans son processus thérapeutique et en ayant un impact rapide et efficace sur ce dernier. Les techniques d’impact peuvent être utilisées avec une personne présentant une déficience intellectuelle, une psychopathologie, un enfant en très bas âge,  une personne âgée, bref, avec à peu près n’importe lequel type de clientèle et de problématique. Il suffit de comprendre la pathologie, les limites et/ou le développement du client et de choisir une technique qui y est adaptée. Elles peuvent donc être utilisées à n’importe quel moment et aussi souvent qu’on le juge nécessaire. De plus, certains outils utilisés en début de thérapie peuvent faire partie intégrante du cadre thérapeutique et servir à montrer visuellement au client où il en est rendu dans son cheminement personnel. Les techniques d’impact peuvent être utilisées tant par les aidants naturels que professionnels. Elles peuvent être utilent à tous ceux qui désire aider d'une manière plus efficace.

22 février 2006

Les interventions d'aide

La Théorie du sentiment d'efficacité personnelle (SEP)

J'accorde une très grande crédibilité à cette théorie à me référant surtout à mes propres expériences. La définition de cette théorie est la suivante : "Jugements qu'un individu se fait de sa capacité à organiser et réaliser des ensembles d'actions requises pour atteindre des types de performances attendus. Plus précisément, les croyances qu'un individu entretient à propos de ses capacités à mobiliser ses ressources cognitives, sa motivation et les comportements nécessaires pour exercer un contrôle sur les événements de la vie".

Je vais vous faire part de ma vision personnelle à ce sujet. Ma vision du SEP est plutôt de la voir comme un la confiance en soi en rapport avec une certaines tâches ou événements données. Si nous avons peu de confiance en soi dans tel tâches, elle affectera nécessairement nos choix, si nous avons d'autres options. Elle peut également affecter nos efforts et notre persévérance et notre patrons de pensée et réactions émotionnelles.

26 décembre 2005

L'Intuition : Une menace ou un avantage dans ma relation d'aide

Dans les entrailles, d’un intraverti voulant devenir l’extraverti.
Un penseur voulant vivre au moment présent.
La terre appelle la lune, la terre appelle la lune…

Toute ma vie, j’ai voulu cette étoile. Un désir présent dans mon adolescence jusqu’à aujourd’hui. Écouter les gens et leurs répondrent au moment présent. Faire rire à chaque bouffé d’air frais et avoir les idées lucides et justes à chaque seconde de ma vie. Etre l’orateur enchanteur de son orchestre. Le sage donnant la direction juste et les outils pour remettre les pendules à l’heure.

La vie est la réponse, « Écoute-toi, écoute ce que ton cœur révèle » me dit une amie. Un autre me dit : « Suis plus tes instincts animals ». Pourquoi suis-je pris dans cette prison? Une tête contenant trop d’idée, de rêve, de liens, de possibilités… Où sont mes sens? Les cinq sens? Mon touché, ma vision, mon goûter, mon ouie et l’odeur… l’emprise de ma pensée les écrasent. Pourrait-elle détruire ma carrière ou pourrait-elle me servir? Lorsque, je pars dans mes pensées, je n’écoute plus… voilà mon danger.

Pour faire un lien entre moi et la théorie, j’ai pensé au MBTI. Le fameux Myers-Briggs, qui évalue l’extraversion, l’intraversion, l’intuition, la sensation, la pensée, le sentiment, la perception et le jugement de l’individu. Je n’irai pas en détails par contre, je vais m’attaquer exclusivement sur l’intuition. C’est mon cheval de bataille! Voici un peu d'information sur le sujet pour mieux comprendre mon fonctionne et ma préoccupation.(si vous voulez en savoir plus sur le MBTI allez voir dans le fichier rattaché)

Les fonctions de perception ou de recueil d’information (Intuition ou Sensation)

Les fonctions de perception sont parfois qualifiées « d’irrationnelles » (il s’agit d’une perception pure, à l’exclusion de tout critère de vrai ou de faux, de bien ou de mal). Elles se contentent de rapporter l’information brute.

Les deux modes principaux de recueil de l’information sont :

  • la sensation « S » : les données sont captées par les cinq sens. Le sensoriel a une démarche plutôt séquentielle avec des étapes connues qui peuvent être répétées. Il aime le concret, il croit ce qu’il voit. Ce qui l’intéresse, ce sont les faits précis, mesurables. Pour lui, la valeur d’une action se mesure à son efficacité visible. Il vit essentiellement dans le présent. Il est méthodique et mesuré. Il aime faire quelque chose de ses doigts et s'exprimer avec son corps (actions pratiques, gestes rituels).

  • l’intuition « N » : l'intuitif a une vision globale qui est obtenue par un processus inconscient. Il aime ce qui émerge mais n’est pas encore. Ce qui l’intéresse, ce sont les possibilités, les potentialités (sans toujours se soucier du principe de non contradiction). Son esprit se projette sans cesse dans le futur qu’il « voit » bien mieux que le présent. Dans l’action, ce qui lui importe, c’est l’originalité, la nouveauté.

Les modes d’apprentissage seront différents. Le sensoriel apprendra pas à pas, en expérimentant concrètement ce qui lui est dit ; l'intuitif se fie à son flair. Leurs modes d’exposition sont aussi différents : le premier avance dans son raisonnement par étapes, le second procède par sauts (la conclusion lui saute aux yeux avant les étapes intermédiaires). L’intuitif qui préfère avoir une vue d’ensemble avant d’entrer dans les détails, sera vite énervé par le raisonnement séquentiel et pour lui fragmenté du sensoriel. Ce dernier, dans un effort louable pour mieux se faire comprendre, donnera encore plus de détails pour argumenter sa pensée, ce qui ne fera que rendre son discours encore plus confus pour l’intuitif. Imaginons la situation du professeur « S » et de l'élève « N » ou l'inverse … selon aussi qu'ils acceptent ou non leur complémentarité. Remarquons que certaines matières scolaires nécessitent d'être plus « S » et d'autres plus « N ». Imaginons aussi les métiers que « S » aimera et ceux que « N » aimera.


Il faut y réfléchir (suite)


MBTI_types_personnalit_s.pdf

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